La Callas du XIXe siècle 

Michelle Ferdinande Pauline García, connue sous le nom de Pauline Viardot (Paris 18 juillet 1821 – Paris 18 mai 1910) 

Bien après sa naissance, son professeur de piano, Franz Liszt, écrit : Elle naquit dans une famille où le génie semblait héréditaire. Pour que le génie fasse éclore ses talents, il doit être cultivé sur un terreau fertile et c’est le cas de Pauline Viardot-García. 

Elle est bien entourée pour sa première apparition publique, son baptême, lorsqu’elle a 6 semaines. Comme parrain, ses parents ont choisi le compositeur italien Ferdinando Paër, directeur du Théâtre-Italien de Paris et de la musique du roi et, comme marraine, la Princesse Praskovia Galitzina (ou Golitsyna), une aristocrate d’origine russe, figure majeure de la haute société parisienne, qui tient salon et encourage les artistes. Pauline, comme on l’appelle désormais, baigne déjà dans un monde cosmopolite...

lire la suite de l'article d'Anne-Marie Polome dans le magazine crescendo

 

Oui, femmes, quoi qu’on puisse dire, 

Vous avez le fatal pouvoir 

De nous jeter par un sourire 

Dans l’ivresse ou le désespoir 

J’aime encore mieux notre torture 

Que votre métier de bourreau.

Alfred de Musset

(après le refus de sa demande en mariage)

 

En podcast: un extrait du projet La Maison du Chant par Ina Kancheva & Loudmil Angelov.

 

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