Antonín Dvořák 180 

On a déjà évoqué dans ces notes la passion que le compositeur tchèque nourrissait pour les locomotives et les chemins de fer.

Dans ce contexte on relate même que ses élèves (dont un certain Franz Lehár) étaient tenus de se rendre à la gare pour lui rapporter les dernières nouvelles concernant le trafic et les horaires, pour autant qu'il ne trouvait pas le temps pour aller questionner lui-même les chefs de gare.

Quand un jour son futur beau fils et sa fille Ottilie lui rendaient visite, celui-là pensait bien faire de dresser un rapport très détaillé de leur voyage en train, afin d'impressionner le père de sa fiancée. Hélas cependant, le jeune homme confondait le numéro de train avec celui de la production de la locomotive et Dvořák de s'écrier: «Quel imbécile! Et tu veux épouser un tel âne, ma petite!»

Ajouter un commentaire